En 1975, le groupe Exile One se retrouve « Face au Public » pour délivrer quelques-uns de ses tubes dont Gader Deye et Aki Yaka (l’Année de la Femme). Gordon Henderson et ses acolytes sont en pleine ascension et leur cadence-lypso fait lever les foules aux Antilles. Ce sera leur dernier album chez Debs – qui les […]
Face au Public – Exile One, 1975 Lire la suite »
Au tournant des années 80 les artistes camerounais se voient propulsés ambassadeurs de leur musique originale, bikutsi, makossa, afrofunk, afrofolk… sous l’impulsion du président Ahidjo, qui voit d’un mauvais œil, monter l’hégémonie zaïroise de la rumba congolaise. Tous les piliers de l’époque sont convoqués : Manu Dibango, Eboa Lottin, Francis Bebey, Eko Roosevelt etc. C’est
In Europe – Tokoto Ashanty, 1980 Lire la suite »
« Biguines… toubonement ! » est l’un des premiers 33 tours d’Al Lirvat sous son nom seul, sorti en 1975, avec son orchestre wabap ! Ses premiers disques sont en effet des 78 tours et des EP 45 tours depuis les années 50. C’est aussi l’une des premières apparitions de son appellation wabap qui rénove la biguine.
Biguines… Toubonement ! – Al Lirvat, 1975 Lire la suite »
Les anciens « Difficiles de Pétion-Ville » deviennent le D.P. Express et enchainent les tubes de compas année après année. En 1982, on en est au volume 7, Pran Plési Nou. Et même si l’emblématique Ti-Manno n’est plus là, le D.P. nous délivre quatre grands titres de compas qui s’achèvent dans la transe carnavalesque du final explosif,
Pran Plési Nou – D.P. Express, 1982 Lire la suite »
Kassav’ #5 sort en 1983. On n’y parle toujours pas ouvertement de zouk. Le mot n’y figure pas, et si la cadence s’en rapproche furieusement, on navigue aussi vers le funk, le rock et bien évidemment la biguine. C’est d’ailleurs sur le titre Say Big In Now (Se Biguine A Ou), la seule collaboration d’Alain
Kassav’ #5 – 1983 Lire la suite »
Après un premier disque, où figurait le petit tube « A.I.E. (A Mwana) », Black Blood remet le couvert en 1977 avec Mandingo. Un album aux influences afrorock, afro-funk, avec des touches de rumba et de disco. À droite sur la pochette, vous aurez bien sûr reconnu Claude Vamur, qui tient les baguettes ici.
Mandingo – Black Blood, 1977 Lire la suite »
Fem’m Kolokinte est l’un des titres emblématiques du roi Coupé Cloué. Les douze minutes de ce compas tout en finesse paraissent en 1978 et atteignent rapidement les ondes des radios libres de la bande FM à Paris. Avec les titres de Tabou Combo, la salsa de Willie Colon et Ruben Blades, ils seront parmi mes
Fem’m Kolokinte – Coupé Cloué, 1978 Lire la suite »
🎶🎷🎸🥁🌟🌎 Puis vint Sixun. « Six pour Un, Un pour Six », devise d’un jazz fusion profondément métissé et puissant, made in « sur Terre ». En 1985 – tiens, la même année que le premier Ultramarine ! – « Nuit Blanche » est le premier album de cet all-stars collectif, au titre oxymore qui
Nuit Blanche – Sixun, 1985 Lire la suite »
L’année précédente, c’était la chanteuse ivoirienne Monique Séka qui était reconnue comme la princesse de l’afrozouk avec son titre Missounwa. Mais en 1990, Oliver Ngoma, originaire de Libreville, faisait paraître, avec la complicité du producteur cap-verdien Manu Lima, son premier album Bane, dont le morceau éponyme allait devenir un hit incontournable du zouk « made
Bane – Oliver N’Goma, 1990 Lire la suite »
Manifeste culturel, le premier album de Pakatak, créé à l’initiative de Dédé Saint Prix, est publié sur le label 3A sous le titre « Contribution 3A au Patrimoine Martiniquais » en 1980 (ou presque…). C’est également l’une des toutes premières apparitions sur disque du tout jeune Bago. Entre quadrille, bélè et chouval bwa, l’album remet la tradition
Contribution 3A au Patrimoine Martiniquais – Pakatak, 1979 Lire la suite »
