Les biguines d’Alphonso et son orchestre Antillais. En 1959, le chef d’orchestre et clarinettiste a déjà derrière lui une longue carrière. Mais au fait, Louis Jean-Alphonse – de son vrai nom, escroc ou génie ? À tout le moins un excellent opportuniste, musicien moyen, mais certainement passionné, il savait s’entourer des talents nécessaires, quitte à […]
Biguines – Alphonso et son Orchestre Antillais, 1959 Lire la suite »
Dans son travail de modernisation de la biguine, le tromboniste guadeloupéen Al Lirvat avait lancé son concept de biguine wabap. Une biguine plus énergique, plus jazz – si c’était possible, car elle l’est dès le départ ! Avec son trio, formé avec le guitariste Arthur Jim et José Benjamin aux percussions, il en publie ce
Biguine Wabap – Al Lirvat, 1977 Lire la suite »
Derrière le Biguine High Society se cache l’orchestre Batucada emmené par le martiniquais d’adoption Solon Gonçalves. Le compositeur et trompettiste brésilien interprète ici, en 1963, deux biguines dont une version du Famme Matinique Dou de Francisco. Quelques années plus tard, en 1969, il publiera son album de référence, En Direct Des Antilles, avec l’incontournable Nataly,
Famme Matinique Dou – Biguine High Society, 1963 Lire la suite »
Charles Ewanjé-Epée fait partie de ces trésors cachés de la musique du Cameroun. Non pas qu’il soit inconnu, loin de là, mais en revanche, il n’a clairement jamais eu la renommée qu’il serait en droit d’attendre. C’est ainsi. Musicien, compositeur, arrangeur, enseignant, son jeu de guitare est d’une délicatesse rare, et sur Longe Lasu, en
Longe Lasu – Charles Ewanjé, 1983 Lire la suite »
Toussaint Walter fut l’un des premiers musiciens guadeloupéens formés au steel drums. Le natif de Capesterre Belle-Eau fonda l’orchestre des Palmiers, parfois appelé Steel Band de Capesterre Belle-Eau, qui produisit plusieurs disques à partir des années 70. L’album présenté ici est l’un des derniers, sorti en 1981, dans la pure tradition venue de Trinidad et
Les Palmiers Steel Band – 1981 Lire la suite »
Il y a presque soixante ans, Lyonel Déjean créait « Les Frères de Pétion-Ville », l’un des tout premiers mini-jazz haïtiens, qui allait rapidement devenir l’une des formations emblématiques de l’île sous le nom des Frères Déjean, à l’instar d’Ibo Combo ou encore des Shleu-Shleu. Leur premier album ne sortira cependant que plus de dix
Nouki Ac Malice – Les Frères Déjean, 1977 Lire la suite »
#Repost @as_valet with @let.repost• • • • • •🚨New Album « Canne a Sucre »*Available on all platforms*Preorder Vinyl on Bandcamp @a_night_on_canopy🔴🟢⚫️ ➡️ Et puis, le Bananier bleu y a ajouté son petit mot. 😍🎵🥁 et on adore le featuring de Sonny Troupé !
Canne à Sucre – As Valet, 2022 Lire la suite »
Escale à la Dominique avec Exile One et Beaucoup D’Gaz A Bo. Le troisième album de la bande de Gordon Henderson est aussi un de leurs succès, avec un mélange de cadence-lypso, de reggae, de blues et surtout de funk – écoutez l’explosif Instant Funk qui clôt l’album ! Et « Vive Les Vacances Aux
Beaucoup D’Gaz A Bo – Exile One, 1975 Lire la suite »
Petit détour au Cameroun avec cet EP de 1974 sorti – évidemment – chez Fiesta. Manu Dibango est déjà au sommet, deux ans après l’explosion de Soul Makossa. Mais dans un registre très différent, Soir au Village sera également un tube. Et sur la face B, on a réussi à caser les 6 minutes 06
Soir Au Village – Manu Dibango, 1974 Lire la suite »
L’homme est presque inconnu hors de la Caraïbe. Chyco Jehelmann reste pour beaucoup une légende ou une rumeur – quand souvent, on ne connait même pas son nom ! Le pianiste martiniquais ne s’est produit qu’à de très rares occasions hors de son île natale (et assez peu d’ailleurs en Martinique même). La première fois,
Piano Solo – Chyco Jehelmann, 1982 Lire la suite »
