L’année précédente, la chanteuse Aziz’Inanga avait représenté avec succès le Gabon au FESTAC 77, deuxième édition du Festival Mondial des Arts Nègres au Nigeria (World Black and African Festival of Arts and Culture). En 1978, sa popularité aidant, elle publie ce premier album où elle mélange modernité et musique traditionnelle gabonaise. S'ensuivront plusieurs albums jusqu’à la fin des années 80, mais Aziz’Inanga mettra par la suite fin à sa carrière pour raisons personnelles. Ce premier album assoira cependant sa réputation comme étant l’une des meilleures chanteuses du Gabon, puisant dans le patrimoine riche du pays, à l’instar de Pierre Akendengue.