À la fin des 70s, le guitariste congolais Sammy Massamba monte, à Paris, et, pour les besoins d’une tournée italienne, le groupe Matadi, du nom du port du Zaïre sur l’océan Atlantique. S’ensuivra l’unique album du groupe, Dance My Love, qui a entre autres servi de bande son au film du même nom, perdu aujourd’hui […]
Dance My Love – Matadi, 1978 Read More »
🎶🎷🎹🥁🎸🎵 Pour leur second album, Pygmées, en 1987, Sixun décline le graphisme de la pochette de Nuit Blanche. Les enfants ont, ceci dit, un peu grandi, et semblent passablement plus dissipés. Et tant mieux ! Il est aussi notable que la composition du groupe n’a pas changé. Idrissa Diop est toujours percussionniste – à un
Pygmées – Sixun, 1987 Read More »
En cette deuxième moitié des années 80, le Gabon, pourtant l’un des pays les plus riches de la région, était également touché par « la crise ». L’indétronable Hilarion Nguéma s’emparait du sujet pour parler de la « Crise Économique » avec sa verve nimitable et ses métaphores imagées. La « sècheresse des banques » faisait ainsi son entrée sur les
Crise économique – Hilarion Nguéma, 1988 Read More »
🌊🏝️🎶🔥🙏 De la fin des 70’s au milieu des années 80, le très parisien label reggae Jah Live a publié en France quelques albums incontournables. À l’initiative de son fondateur José Jourdain, il a par exemple sorti l’édition française de Hearts of the Congos, mais également d’autres artistes jamaïcains ou anglo-jamaïcains comme Scattarock, King Sounds,
La Jamaïque, perle noire des Caraïbes – 1983 Read More »
Tasse Vermont Duclair fait partie des petits maîtres oubliés du makossa. Le chanteur et guitariste, disparu en 2020, aura connu le succès le temps de trois albums dans les années 80, sortis de manière confidentielle sur son propre label, TVD Records. Tiopou Yamou est le deuxième de la série, et a obtenu un statut d’album
Tiopou Yamou – Tasse Vermont Duclair, vers 1984 Read More »
Aujourd’hui, un petit combo des deux premiers vinyles de Monsieur Ray Lema, sortis avant Médecine, dont nous avons déjà parlé ici, toujours chez Celluloid. D’abord un EP, Koteja (1982), puis dans la foulée, l’album Kinshasa – Washington D.C. – Paris (1983), qui retrace le parcours de Lema jusqu’à son arrivée en France. Entre afro-funk et
Koteja + Kinshasa-Washington DC-Paris – Ray Lema, 1982 & 1983 Read More »
Il a gardé la foi et l’énergie qu’il déployait au sein de groupes mythiques comme Gwakasonné ou Zépiss. Edmony Krater poursuit sa route et publie le très conscient « J’ai traversé la mer » en 2020. Gwoka, jazz, touches électro et messages distillés avec une apparente et fausse légèreté. Au détour des pistes, on retrouve
J’ai traversé la mer – Edmony Krater, 2020 Read More »
En 1983, le Gabon crée l’A.N.P.A.C., l’Agence nationale de promotion artistique et culturelle, pour promouvoir les talents locaux et contribuer au développement culturel du pays. L’une des premières réalisations de cette agence est une série de trois volumes intitulés « l’ANPAC présente« , publiés en 1984. Ces albums proposent une sélection d’artistes gabonais de tous les styles,
l’A.N.P.A.C. présente… Vol. 1 – 1983 Read More »
Fin des années 80, le grand Sam Mangwana fait une infidélité à la rumba. Avec le groupe Africa Wonderful, il sort Duta Longo et plonge dans les classiques du makossa. À la manœuvre derrière lui, on retrouve quelques valeurs camerounaises sûres dont Toto Guillaume, Grace Decca, Noël Assolo ou encore Jacques Djeyim. Ah oui, et
Duta Longo – Sam Mangwana, vers 1989 Read More »
C’est en 1985, avec cet album, que j’ai découvert Kassav’. La formation est alors au top, et tous les membres historiques y sont présents. Kassav’ déferle enfin en France avec ces huit pistes qui sont toutes autant de tubes, de Se Pa Djen Djen à Mwen Malad Aw en passant par Mové Jou ou encore
