Parmi les early works de l’une des références actuelles du steel drums, Andy Narell, ce Slow Motion de 1985, qui n’a de slow que le nom. Un excellent jazz funk aux accents tropicaux, avec un groupe de musiciens qui se connaissent bien. La guitare explosive de Steve Erquiarga, les percussions de Kenneth Nash – également […]
Slow Motion – Andy Narell, 1985 Lire la suite »
Parmi les excellents travaux de réhabilitation du patrimoine musical africain du label Analog Africa, ce double volume sorti en 2014, et consacré à l’historique Verckys Kiamuangana Mateta, ou plus simplement Verckys. Le musicien, compositeur, etc. congolais avait débuté dans le TPOK Jazz de Franco avant de former son orchestre Vévé. Des musiciens comme Pépé Kallé
Verckys – 2014 Lire la suite »
L’iconique formation Gaoulé Mizik fait partie de l’histoire du Gwoka moderne en Guadeloupe, au même titre que Gérard Lockel, la famille Geoffroy, Kannida, Gwakasonné, Van-Lévé et tant d’autres. Emmené par Tosh Montella, le collectif publie deux albums, Konbòch d’abord, puis celui-ci, paru en 1988, au sous-titre on ne peut plus explicite, Un pas de plus
Un Pas de Plus Vers le Refus de l’Ignorance – Gaoulé Mizik, 1988 Lire la suite »
Sur une dizaine d’années, en gros les années 80, le Caraïbe Jazz Ensemble de Germain Cécé a illuminé le jazz made in Guadeloupe. Quatre disques entre 1983 et 1992, dont Matin Bleu sorti en 1989. La formule de l’ensemble a un peu varié, mais les références de l’île y ont eu leur place à un
Matin Bleu – Caraïbe Jazz Ensemble, 1989 Lire la suite »
Dans la riche discographie de Koffi Olomidé, Les Prisonniers Dorment de 1990 se situe un peu avant le deuxième départ de la carrière du congolais, qui se révélera avec son orchestre Quartier Latin, quelques années plus tard. Légende de la rumba et du soukous, en particulier auprès du regretté Papa Wemba, il mettra le pied
Les Prisonniers Dorment – Koffi Olomidé, 1990 Lire la suite »
C’est chez Flarenasch que sort en 1988 le troisième album de la grande Tanya St-Val. Pouki Tou Sa reprend en grande partie des titres des deux premiers albums, et y ajoute le morceau titre. L’album sera un troisième succès et est aujourd’hui l’un de ses disques les plus recherchés, tant en vinyle qu’en CD, ce
Pouki Tou Sa – Tanya St Val, 1988 Lire la suite »
Détour cubain, avec la charanga de Roberto Torres, entre son montuno et salsa. Le chanteur, percussionniste et chef d’orchestre a monté son propre label SAR, sur lequel est publié (entre de nombreux autres) cet album, très élégamment créole ! Elegantemente Criollo sort en 1986, quelques années après la reprise par Torres de Caballo Viejo, écrit
Elegantemente Criollo – Roberto Torres, 1986 Lire la suite »
On connait surtout Sam Alpha pour ses interprétations créoles de Georges Brassens. Elles ont fait son succès, mais son répertoire ne s’y limite pas. Ici, il interprète quelques titres personnels aux textes souvent profonds, sous des apparences légères et parfois humoristiques. Il est de plus très bien accompagné par le pianiste Roland Louis, venu avec
Sam Alpha – 1983 Lire la suite »
Le Manu Dibango du jour est un excellent cru. La réédition 2021 chez Sony d’Afrovision, sorti initialement en 1976 chez Fiesta. Que des titres devenus incontournables, de l’ouverture par Big Blow à Bayam Sell’am ou Aloko Party, entre jazz funk et afrobeat. Ou bien encore l’afro blues incantatoire de Baobab Sun 7. Tous ces titres
Afrovision – Manu Dibango, 1976 Lire la suite »
Presque aussi célèbre que sa Fem’m Kolokinte sortie deux ans plus tôt, voici la Sôciss de Coupé Cloué et son ensemble Select, paru en 1980 chez Marc Records. Les paroles, comme souvent à double sens, sont savoureuses et le compas d’Henry Gesner balance toujours autant tout en finesse. Et pour ouvrir la face B, un
Sôciss – Coupé Cloué, 1980 Lire la suite »
