Le deuxième opus de Pakatak poursuit la revitalisation du bèlè. Derrière les flutes de Krisyan Jésoph et René Voltigeur, on retrouve le pilier Bago qui emmène le groupe, appuyé entre autres par Charly Labinsky, Georges Hodebourg ou encore Jean-Paul Roffalet. Du tibwa au quadrille, la tradition flamboie, avec même quelques écarts vers la Caraïbe latine, […]
Pakatak – 1980 Lire la suite »
En 1980, un premier disque afro-funk sous le nom des Kossas’s Players, et puis cinq ans plus tard, ce Makossa Hits avec une équipe un peu différente, mais le même cœur. Les deux albums sont à peu près aussi rares l’un que l’autre. Sur ce deuxième disque, Eyoum, Mambingo, Ndoumb’a Priso et Nthépé nous servent
Makossa Hits – Kossas, 1985 Lire la suite »
À l’époque où le jazz naissait à la Nouvelle-Orléans, aux Antilles, la biguine se développait sur le même terreau de départ, un mélange de rythme africains et de musiques occidentales, importés dans la douleur. Les orchestrations se ressemblent, mais les rythmes diffèrent, et par exemple les chorus improvisés du jazz n’ont pas leur place dans
Alexandre Stellio et son orchestre créole – 1966 Lire la suite »
En 1976, en pleine vague disco, c’est sur le célèbre label Fiesta – qui a entre autres publié Soul Makossa quelques années auparavant – sur le label Fiesta, donc, que sort le premier album de l’atypique Kemayo. Le chanteur camerounais s’engouffre dans la vague et sort Africa l’An 2000, avec un afro-disco-funk de feu, soutenu
Africa l’An 2000 – Kemayo, 1976 Lire la suite »
Sorti début décembre dernier, Accumulation of Profit & Power (A.P.P.), le tout nouvel album de Muyiwa Kunnuji et son groupe Osemako est politiquement et socialement engagé. Le dernier trompettiste de Fela nous a concocté un afrobeat panafricain made in Sud de France, qui décoiffe.
Accumulation of Profit and Power – Muyiwa Kunnuji, 2022 Lire la suite »
Jorge Varona est de ces piliers de la musique cubaine, issue d’une lignée de musiciens de renom. À la fin des années 50, le trompettiste rejoint Bebo Valdès, puis Benny Moré, et en 73, il participe à la fondation d’Irakéré dont il restera l’un des membres emblématiques, aux côtés d’Arturo Sandoval. Il faut cependant attendre
Black & White – Jorge Varona, 1987 Lire la suite »
En 1977, Pat Martino crée le Scorpio Universel pour damer le pion au D.P. Express de ses anciens collègues. Le Scorpio sort trois premiers albums chez Macaya, suivi du tube de l’été 79, Map Mandé Courage, publié chez Mini Records en tant que Big Single. Succès fulgurant pour le titre « guaranteed to make you
Map Mandé Courage – Scorpio Universel, 1979 Lire la suite »
Après quarante ans, le Passeport de Kassav’ est toujours valide ! Pas une ride pour le seul disque du groupe sorti chez Franck Riahi Records en 1983, et qui inclut sa part de succès dont les incontournables Oh Madiana et Zombi. L’album marque une étape importante dans l’évolution du zouk, qui était tout juste en
Passeport – Kassav’, 1983 Lire la suite »
En 1987, en pleine vague du kwasa-kwasa, Empire Bakuba, emmené par Pépé Kallé, Papy Tex et Dilu Dilumona, publie l’un de ses albums les plus iconiques, Bakuba Show. Sorti chez Syllart Records, la première face en est entièrement occupée par un mix savoureux, entre rumba et soukous, alternant breaks, chorus de guitare, incantations de Kallé
Bakuba Show – Empire Bakuba, 1987 Lire la suite »
En 1986, Breeze, deuxième opus du Caraïbe Jazz Ensemble de Germain Cécé, tout en étant très créole, est probablement le plus straight jazz de tous. C’est aussi le seul album du groupe où Frédéric Caracas tient la basse. Pour le reste, on y retrouve l’ensemble des musiciens du groupe, de Raymond Grego à Georges Juraver,
Breeze – Caribbean Jazz Ensemble, 1986 Lire la suite »
