🎶🇳🇬🕊️💔🕯️ Il y a vingt-cinq ans (hier, en somme !) disparaissait le roi de l’afrobeat, Fela Ransome Kuti. Déjà… Pour l’occasion, une de ses chansons emblématiques, Lady, hymne afroféministe qui n’était au départ « que » la face B de Shakara, autre titre phare de l’homme de Kalakuta, enregistré avec Africa 70, et sorti en […]
Shakara – Fela & the Africa 70, 1972 Lire la suite »
Le guitariste et compositeur guadeloupéen Tinou Lavital a derrière lui une longue et brillante carrière. Arrivé à Paris, il a fait ses classes avec succès auprès de Gérard Laviny, Al Lirvat ou encore Roland Louis. Les orchestres qu’il a montés ont sans exception rencontré leur public et fait de nombreuses tournées. En cette fin des
Fire – Les Pyromanes, 1979 Lire la suite »
🎤🇬🇦🎶💉💔 Après plusieurs singles sortis depuis le milieu des années 70, ce n’est qu’en 1986 qu’Hilarion Nguema, l’un des artistes gabonais les plus réputés, fait paraître son premier album. Avec sa rumba facilement reconnaissable, Hilarion, qui chante souvent en français, fait passer les messages avec des slogans qui font mouche. Avec Okone Ya Nem, c’est
Okone Ya Nem – Hilarion Nguema, 1986 Lire la suite »
En 1966, cette compilation sortie chez Célini Disques / Aux Ondes, de quelques maitres du gwoka. Folklores – c’est le nom du disque – regroupe des enregistrements de Robert Loyson (dont en plus c’est l’anniversaire aujourd’hui), Germain Calixte et Taret Turgot, ancrés dans la tradition. Trois figures du gwoka qui ont paradoxalement peu enregistré. Tambours
Folklores – 1966 Lire la suite »
Le succès de Prince Nico Mbarga explose en 1976 avec son premier album Sweet Mother qui se vendra à plusieurs millions d’exemplaires (le nombre exact n’est pas connu…). Mbarga mélange dans sa musique les influences de ses deux pays d’origine, le Cameroun – par son père – et le Nigeria – par sa mère. Avec
Family Movement – Prince Nico Mbarga, 1978 Lire la suite »
Les biguines d’Alphonso et son orchestre Antillais. En 1959, le chef d’orchestre et clarinettiste a déjà derrière lui une longue carrière. Mais au fait, Louis Jean-Alphonse – de son vrai nom, escroc ou génie ? À tout le moins un excellent opportuniste, musicien moyen, mais certainement passionné, il savait s’entourer des talents nécessaires, quitte à
Biguines – Alphonso et son Orchestre Antillais, 1959 Lire la suite »
Dans son travail de modernisation de la biguine, le tromboniste guadeloupéen Al Lirvat avait lancé son concept de biguine wabap. Une biguine plus énergique, plus jazz – si c’était possible, car elle l’est dès le départ ! Avec son trio, formé avec le guitariste Arthur Jim et José Benjamin aux percussions, il en publie ce
Biguine Wabap – Al Lirvat, 1977 Lire la suite »
Au début des années 2000, Andy Narell s’est beaucoup investi auprès de l’association Calypsociation, à Paris, pour former et transmettre la musique du steel drums. La collaboration a débouché sur l’album The Passage – Music for Steel Band Orchestra, sorti en 2004. Il y reprend quelques-uns de ses propres standards dont Song For Mia, Mabouya,
The Passage – Andy Narell & Calypsociation, 2004 Lire la suite »
Derrière le Biguine High Society se cache l’orchestre Batucada emmené par le martiniquais d’adoption Solon Gonçalves. Le compositeur et trompettiste brésilien interprète ici, en 1963, deux biguines dont une version du Famme Matinique Dou de Francisco. Quelques années plus tard, en 1969, il publiera son album de référence, En Direct Des Antilles, avec l’incontournable Nataly,
Famme Matinique Dou – Biguine High Society, 1963 Lire la suite »
Charles Ewanjé-Epée fait partie de ces trésors cachés de la musique du Cameroun. Non pas qu’il soit inconnu, loin de là, mais en revanche, il n’a clairement jamais eu la renommée qu’il serait en droit d’attendre. C’est ainsi. Musicien, compositeur, arrangeur, enseignant, son jeu de guitare est d’une délicatesse rare, et sur Longe Lasu, en
Longe Lasu – Charles Ewanjé, 1983 Lire la suite »
