Un an après leur hit « Cuisse La », les Aiglons publient « Le Petit Chaperon Noir » en 1977 et sa couverture qui marque les esprits. L’année suivante, ils emmèneront la cadence guadeloupéenne au Madison Square Garden devant 5000 personnes !
Escale jamaïcaine. En 1977, Cedric Myton et Roydel Johnson fondent The Congos. Repérés par Lee Perry qui leur adjoint Watty Burnett, ils sortent Heart of the Congos qui reste à ce jour l’un des joyaux du reggae et de la musique jamaïcaine. L’album est enregistré à l’historique studio Black Ark et n’est au départ pressé
En attendant la sortie du tout premier album de Jean-Philippe Fanfant, « Since 1966 », prévu en juin, retour sur le power Caribbean quartet Sakésho. Mario Canonge, Andy Narell, Michel Alibo et Jean-Philippe Fanfant. Quatre talents pour deux albums de Creole Jazz explosifs. Ici, le second, « We Want You To Say… » sorti en 2005. La discographie se
Blackfire est le premier album de Dominique Bérose sous son nom. Le claviériste se lance dans la library music entre jazz, funk et Caraïbe, pour le label K-Vox de Thierry David. En prime, la formidable illustration de couverture par Michel Montagut.
En 1986, alors au faîte de la gloire, Zaïko Langa Langa, est invité à se produire au Japon. Les volcaniques sessions live enregistrées lors cette tournée sortent sur l’album « Nippon Banzai« . Deux fois 18 minutes non-stop qui mettent le feu sous un déluge de soukous et rumba. On y retrouve entre autres Sandralina, l’un des
Toto Bissainthe chante Haïti. Entre incantations vaudoues issues des chants des esclaves, mizik rasin, et chants contestataires contre le régime Duvallier, la voix puissante et envoutante de Toto Bissainthe, alors en exil, accompagnée de Mariann Mathéus et Marie-Claude Benoit en 1977. Les chanteuses s’appuient sur les percussions de Mino Cinelu et Akonion Dolo, la guitare
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Fondé en 1989, le combo guadeloupéen Poker JBZ sort en 2003, In Kréol’, son deuxième album, après Soft, paru quatre ans plus tôt. Le groupe est emmené par Lucien Castry (b), avec la voix de Sandra Jean-Charles. Un mélange chaleureux de zouk, de biguine et de jazz créole, avec également Jean-Claude Damprobe (g), Teddy Altone
Avec La Divinité et Baille Chabon, ce sont des tubes toujours en activité aujourd’hui que sort l’irremplaçable Perfecta en 1979. L’orchestre mythique de Martinique est alors sous la direction de Daniel Marie-Alphonsine et on y retrouve les piliers de l’époque : Michel Godzom, Paulo Albin, Vico Charlemagne, etc.
« L’un des autres » grands musiciens du Nigeria est évidemment King Sunny Adé. Avec son African Beats, en 1983, il publie Synchro System, hymne de la Jùjú music, proche du highlife et dérivée de la musique traditionnelle Yoruba. Martin Meissonnier, à la production, aux claviers et aux arrangements, polit un peu le son de ce diamant
Synchro System – King Sunny Adé & his African Beats, 1983 Read More »
Il aura fallu attendre 1997 pour voir sortir le premier album sous son nom de Roger Raspail. Le tambouyé de Capesterre Belle-Eau publie alors Fanny’s Dream, sur le label Blue Marge du regretté Gérard Terronès. On y retrouve une pléiade de musiciens de talent parmi lesquels Michel Alibo, Alain Jean-Marie, Dominique Bérose, Richard Raux, Lansine
